Frédéric Durand-Bazin, rédacteur en chef au magazine Le Particulier a estimé qu’en matière d’Assurance-vie : les vieux contrats dont certains sont fermés à la commercialisation « que ces contrats sont plutôt assez mal traités. En fait ce sont plutôt les assureurs qui maltraitent leurs anciens clients en leur donnant des taux de rendements inférieurs à ce qu’ils accordent à leurs anciens clients.
» ils ont été fidèles à leurs assureurs et quelle est leur récompense :
Eh bien on les massacre »
Frédéric Durand-Bazin « effectivement, la fidélité n’est pas le fort des assureurs e en plus les mauvaises habitudes ont plutôt la vie dure. Parce que ça fait maintenant 3 ans que nous faisons cette enquête, que nous dénonçons ce type de pratiques, certains de nos confrères journalistes emboitent désormais le pas et se rendent compte de la partie légèrement scandaleuse de cette opération.
Le principe est le suivant : Les assureurs et parmi les plus importants continuent à maltraiter leurs anciens clients en leur accordant des taux de rendement sur le fond en euros sensiblement inférieur à la moyenne des contrats et surtout aux contrats qu’ils accordent aux contrats en cours de commercialisation.
Par exemple en 2012, les taux de rendement de contrats d’Assurance-vie étaient de 2,9%. Les meilleurs fonds ont servis lus de 3,5% de rendement alors que les anciens clients ont souvent du se contenter de 2% de rendement avant les prélèvement sociaux de 15,5%.
On voit bien qu’une fois la fiscalité enlevée, on n’est même plus au niveau du Livret A. Ce qui nous paraît absolument scandaleux c’est que ces souscripteurs, ces épargnants, en fait ils ont été fidèles à leurs assureurs et quelle est leur récompense : Eh bien on les massacre. Lire la suite